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On vous raconte 10 anecdotes insolites vécues en Asie

Thaïlande : On est invité à manger des insectes

En 2019, lors de notre dernier voyage en Thaïlande avant de revenir en France, nous avons fait la rencontre de Meh Prang un peu par hasard.

Nous étions au night market de Phattalung et nous cherchions un lieu où nous restaurer. Un jeune homme nous a interpellés puisque nous parlions français et nous a dit que sa sœur apprenait le français à l’école. Il nous a demandés si ça nous dérangeait de l’attendre pour qu’elle puisse pratiquer avec nous. Nous avons forcément accepté puisque nous étions curieux et contents de voir que des thaïlandais s’intéressaient à notre langue. On a passé une superbe soirée avec elle et ses parents qui nous ont invités à manger… des insectes ! Grosse surprise pour nous deux qui ne pensions pas du tout manger ce plat à 10h du soir… J’ai dû en manger quelques uns et heureusement, Steve a beaucoup aimé et a terminé le plat ! 

Je ne sais pas si vous avez déjà mangé des vers frais en sauce, mais la texture est assez dérangeante. Les vers (qui mesures 2cm) sont mous et juteux et il faut leur retirer la tête avant de les manger. Autant vous dire que ce n’était pas appétissant de prime abord… 

Malgré notre expérience peu goûteuse, on vous recommande de goûter ce met au moins une fois dans votre vie même en chips à l’apéro ! Car, il faut l’admettre, bien préparé, le goût n’est pas si mauvais.

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Plat de vers offert par le père de Meh Prang... miam...
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Pour en savoir+, rien ne vaut le plus important producteur français d'insectes comestibles - dont scorpions...

Cambodge : Steve pêche un poisson préhistorique

Lors de notre participation dans un programme de replantation de mangrove au Cambodge, Steve est parti en mer avec des pêcheurs et l’équipe de plantation. A son retour, il a ramené un poisson préhistorique appelé limulidae ! Autant vous dire qu’au début, on ne connaissait pas son nom !  

C’est un animal aquatique pourvu d’une carapace solide et d’un pic à son arrière. Il est très étrange et assez flippant ! On a appris, du coup, que ces animaux existent depuis l’âge de glace. Ils ont donc vécu les chutes d’astéroïdes, les dinosaures et l’évolution de toutes les espèces ! Il semblerait que son sang est bleu pour prévenir l’apparition des bactéries. Malheureusement, ils sont pêchés en masse car les scientifiques du monde entier les font saigner pour trouver des remèdes et exploiter leurs sangs… Du coup, c’est un animal en voie de disparition et très rare à voir dans certaines parties du monde. Triste à dire, quand même de savoir qu’il a survécu des millions d’années et que l’homme le décime en quelques années seulement…

En Asie, on a également entendu dire qu’il était consommé. Heureusement, l’animal est interdit à la pêche à présent. Pour notre part, nous l’avons remis à l’eau et nous espérons que vous ferez de même lorsque vous croiserez la route d’animaux étranges !

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09/03/2017 - Retour des hommes en pleine mer avec un poisson bien étrange !

Vietnam : ça coule à la Baie d'Halong

Si vous nous suivez depuis 2017, vous connaissez cette histoire tragique de la perte de notre première GoPro dans la Baie d’Halong au Vietnam. Pour tout vous dire, c’était un véritable choc puisque nous avions déjà perdu beaucoup de matériels le mois précédent au Cambodge lors d’un treck illégal dans une jungle (je vous renvoie à cette histoire via ce lien si vous souhaitez la connaître). 

Cette anecdote de voyage tombait donc très mal dans notre parcours. 

Ce qui s'est passé

Pour résumer l’Histoire (que vous pourrez lire en entier ici), on était en mer sur un bateau touristique pour découvrir toute une journée la Baie d’Halong. Nous avions passée une superbe journée à faire du kayak, nous baigner et découvrir les roches karstiques au milieu de l’Océan et les plages perdues dans ces baies. Ce fut magnifique et on a énormément filmé cette journée incroyable avec notre GoPro. Malheureusement, nous n’étions pas réellement bien équipée à nos débuts et nous nous baignions avec une simple perche en métal, avec au bout, notre GoPro. Je vous laisse imaginer la suite de l’Histoire…

Steve allait retourner sur le bateau après une baignade dans une baie magnifique. Seulement, à deux mètres du bateau, la GoPro s’est détachée doucement de la perche et elle a coulé devant ses yeux. Avec la gravité, je ne vous apprends pas qu’il fut difficile de l’attraper… On est resté interdit sur le bateau, comme deux idiots. Heureusement, on a bénéficié d’une solidarité hors paire à bord. Tout le monde a essayé d’aider pour récupérer notre appareil qu’on pouvait apercevoir car l’eau était cristalline. Bien sûr, ce fut en vain car avec le GPS du bateau nous savions que la GoPro était à plus de 6m de profondeur. Donc sans appareil de plongée ou sans une personne professionnelle de la plongée en apnée, il était simplement impossible ou suicidaire de récupérer notre caméra. 

Mais on arrive à en rire

On a donc dit adieu à notre GoPro après avoir dit adieu au Samsung de Steve, nos MP3 et notre Sony un mois plus tôt. A vrai dire, notre voyage en Asie avait très mal commencé ! Mais après plusieurs années, on arrive à rire de cette anecdote car, quand même, la situation de la GoPro qui coule devant nos nez dans un lieu aussi célèbre que la Baie d’Halong, a un côté assez unique. C’est comme si on avait déposé au fond de l’eau un vestige de notre passé ! Peut-être qu’un jour ces photos seront dévoilées !

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24/03/2017 - Steve qui médite après avoir perdu la GoPro

Philippines : Une baignade qui finit mal

Aux Philippines, on a décidé de nous reposer à Port Barton dans une homestay au bord de l’eau. On vous avoue avoir été complètement inconscients en arrivant et en voyant cette eau limpide et cette plage paradisiaque (inconscients ou hypnotisés, allez savoir…). A peine les sacs posés, nous avons troqué nos shorts pour nos maillots de bain ! Malheureusement, nous ne nous sommes pas renseignés avant sur la plage, ni même si les marées. Et vous allez comprendre qu’en Asie, ce détail n’en est pas un…

Ce qui s'est passé

Il s’avère que cette plage était pourvue d’énormément d’algues et que la marée était descendante. De ce fait, toutes les créatures de passage restaient coincées dans les algues près de la plage et il était finalement déconseillé de se baigner à certains moments de la journée. Chose que nous n’avions bien évidemment pas faite en arrivant….

En entrant donc dans l’eau, on s’est en effet un peu battu avec les algues pour rejoindre les zones plus profondes et enfiler nos masques de plongée. Au bout d’un moment, J’ai senti comme une brulure sur le bras qui m’a coupée la respiration. Je suis directement revenue sur la plage et je me suis aperçue que j’avais un filament de méduse enroulé autour de mon poignet. Mon bras commençait à devenir endolori. J’ai couru avec Steve à l’intérieur de l’homestay et ils m’ont immédiatement mis de la mare de café et du vinaigre dessus. Je vous avoue n’avoir pas fait la maligne. 

Au final, c'était pas fun

Alors, les résultat de la baignade de 5 minutes furent une brulure qui est restée des mois sur mon bras, des courbatures dans tout mon bras dont les muscles étaient encore tendus plusieurs jours après et une peur bleue des algues ! On a d’ailleurs appris deux jours après et lors d’une sortie en bateau que la zone était connue pour ses serpents de mer et ses poissons pierre, deux autres animaux aquatiques mortels. On était avec des amis qui, on vous avoue, n’ont plus jamais mis les pieds à l’eau !

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Ma brulure de méduse au Philippines !

Taïwan : Deux bananes au bord de la route

On aurait pu vous reparler de notre carte SD qui nous a lâchés après une mission dans un office de tourisme, mais vous connaissez déjà l’histoire (sinon, on vous invite à la lire ici). Du coup, on a voulu vous parler de la solidarité taïwanaise qui est incroyable. Après avoir justement perdu toutes nos photos puisque notre carte SD nous avait lâchés, on a dû revenir dans les montagnes d’Alishan pour refaire le circuit touristique de l’Office de tourisme afin d’avoir à nouveau des clichés et des vidéos pour finaliser notre mission sur place. 

On avait deux jours pour tout refaire et nos amis de Singapour étaient déjà repartis donc nous n’avions plus de véhicule sur place pour bouger rapidement d’un point A à un point B. On était donc obligé de prendre les quelques bus de la journée et d’être très à cheval sur les horaires. Bien entendu, on n’a pas été très ponctuel ! Et on a loupé le dernier bus pour rentrer. En plus, on s’est pris une rincée horrible et glaciale…

On s’est tapé plusieurs dizaines de kilomètres trempés au bord de la route principale pour rentrer et honnêtement, l’humeur n’y était plus du tout ! Jusqu’à ce qu’on décide de faire une pause devant le porche d’un magasin tout en grelottant. Deux personnes sont venus vers nous et nous ont tendus des ponchos neufs ! C’était tellement inattendu et bienveillant ! Le sourire est tout de suite revenu et pour le reste des kilomètres restants on avait la banane ! D’ailleurs on riait tellement du bruit des ponchos horriblement laids qui crissaient sur nous. On avait l’air de deux bananes au bord de la route qui couinaient. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce détail de la Taïwan qui m’a le plus marquée. Comment un petit rien peut illuminé ta journée. 

Pour tout vous dire, on a encore aujourd’hui un poncho dans nos sacs à dos. C’est devenu un indispensable de nos voyages et ces deux ponchos jaunes nous ont suivi jusqu’en Australie. Bien qu’ils étaient moches, ils avaient une toute autre valeur à nos yeux.

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Après avoir été surpris par la pluie, on reçoit deux poncho jaunes pour rentrer

Laos : Le caca de buffle, c'est trop bien !

Comment ne pas parler de notre volontariat à la Bamboo School au Laos ? C’est juste l’un des volontariats qu’on a le plus aimé. Mais on a oublié de vous parler d’un détail important lorsque nous y étions (pour découvrir ce voyage, cliquez ici). Toutes les maisons que nous avons aidé à construire étaient faites à base de caca de buffle !

Ca parait dingue de premier abord mais en fait, c’est tout à fait naturel dans cette région qui vit de ce qu’ils ont sur leurs îles.  Le processus était simple. On allait collecter les cacas des buffles du village tous les matins à la brouette. Ensuite, on faisait un trou dans la terre et on y versait de l’eau, de la terre, du sable, de la paille et les caca.  Puis, on mélangeait ce mélange avec nos pieds. une fois bien mélangé, on obtenait une sorte de ciment naturel que nous appliquions sur les tressages de bambous aux murs.

C’était aussi simple que ça ! Et tellement drôle ! Franchement, marcher dans du caca pour les étaler sur des murs, c’est quand même une expérience incroyable qu’on n’aurait jamais fait ailleurs dans nos vies ! Côté odeurs, ça pouvait aller. Je pense que c’est surtout qu’on s’y habituait avec le temps. Et une fois sec, cela ne sentait plus du tout. D’ailleurs pour finir l’anecdote, Steve n’a pas participer à l’expérience du pétrissage puisqu’il s’était ouvert le pied quelques jours précédents… vous êtes surpris ? Si vous nous suivez, vous savez que Steve est très maladroit et qu’il se faisait au minimum un bobo tous les mois ah ah !

Par contre, il faisait les tressages, la peinture et cela ne l’a pas empêché de se baigner dans le Mekong avec les enfants. Seulement, le mélange au caca, on a préféré éviter !

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On peint les maisons en caca de buffle pour l'école Bamboo School au Laos

Malaisie : On accompagne une équipe anonyme

Bon alors, cette anecdote est WTF ! Déjà parce qu’on a pris les devants pour contacter le Resort sur l’île de Tioman le plus guindé parce qu’on voulait dormir dans un lieu, pour une fois, chic. Seulement, comme on n’avait pas les moyens de le faire, on est allé au culot et on a demandé si contre des vidéos promotionnels et de la communication sur nos réseaux sociaux, on pouvait avoir un prix. C’est comme ça qu’on est arrivé au Resort Barat Tioman et qu’on a intégré pendant plusieurs jours une équipe pour des activités privées sur l’île.

Ce qu'on y a fait

Alors, jusque là, tout va bien et il n’y a rien de très extraordinaire (ok je déconne c’est déjà ouf comme situation ah ah !).  Là où ça commence à être complètement dingue, c’est quand on a commencé à faire des soirées avec cette équipe et le patron du resort (qui est un vrai mania des affaires en Malaisie car il a les plus beaux complexes hôteliers sur les îles Perenthians, Tioman et à Kuala Lumpur). Donc, on s’est prêté au jeu car c’était drôle et unique. On a eu des soirées arrosées (dont mon anniversaire où, comme je fêtais mes 30 ans, ils sont venus m’offrir une montagne de 30 canettes de bières… !), des baignades en mer et des repas avec eux. 

On était plutôt bien entouré !

Bref, c’était tellement parfait, qu’à leur départ (ils sont partis trois jours avant nous), ils nous ont proposé de les rejoindre sur Perenthians islands dans l’autre Resort pour faire aussi une vidéo promotionnelle là-bas et passer du temps avec eux. On a refusé car on voulait rejoindre la Thaïlande (et qu’est ce qu’on regrette à présent !). Donc, au départ, on a échangé nos numéros et nos profils Instagram et Facebook. C’est là qu’on a vu que c’était des personnalités publics du pays ! Mais vraiment ! Une des filles était présentatrice de télévision et quand aux autres, c’était des business mens avec plusieurs dollars en banque (j’ai pas dit millions ou milliard car j’en sais rien, mais bon… vu les profils, ils vivaient pas dans un F3 lol !).

Donc voila, si on veut retourner là-bas, je pense qu’on a toujours nos tickets ouverts puisqu’on est toujours pote avec eux et qu’il leurs arrive de nous reposter sur leurs publications ! Je vous avais dit que vous alliez aimer cette anecdote assez dingue !

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Avec M Barat et Mme Barat (Steve n'est plus avec nous ah ah !)

Indonésie : Inondation dans notre chambre d'hôtel

Alors, cette anecdote, nos proches la connaissent ! Il s’agit de celle qui est au summum de toutes les autres ! Pour bien vous la raconter, il faudrait que je remonte à la veille…

Steve avait une tourista. C’est à dire qu’il devait sans cesse aller aux toilettes. Ce ne fut pas la première fois qu’il était malade donc ça ne nécessitait aucun soin particulier. Cependant, il était obligé de se rendre aux WC régulièrement. Donc, pendant la nuit, il se lève pour y aller. 

Steve me réveille en étant affolé

Je me réveille en sursaut ! Steve me bouscule, à poils, et fait des gestes dans tous les sens en gigotant pour essayer de me dire quelque chose. Bien sûr je ne comprends rien car j’ai encore la tête dans c**. Je le suis donc dans la salle de bain… Et là… ben c’est le silence pendant quelques minutes tant c’est juste improbable… Un jet d’eau sort du mur ! Un putain de jet d’eau !!

Je lui demande ce qui s’est passé. Il me dit qu’il a voulu tirer la chasse et qu’en se tournant, son cul a tapé le robinet et que ce dernier s’est détaché du mur… rien que ça ! Comme ça ! Pouf, avec un petit coup de cul ! Bon et bien il s’est vite habillé et on est allé cherché de l’aide. Autant vous dire qu’à 3h du matin, l’hôtel était désert. On a juste vu le gardien. On l’a donc sollicité avec des gestes (il ne parlait pas un mot d’anglais) pour lui demander de nous suivre… Bon bien évidemment il n’a pas voulu et pensait certainement qu’on voulait l’inviter dans notre chambre… bordel… Finalement, après moults essais, il a fini par nous rejoindre peu sûr de lui et nous, très très très gênés.

En arrivant, il n’a absolument pas eu la réaction que nous attendions ! Il est resté simplement devant en se grattant la tête et en nous faisant comprendre qu’il ne savait pas. Bon, à 3h30 du matin, tu perds un peu ton calme et tu lui fais comprendre qu’il faut qu’il fasse quelque chose. 

La solution, le bambou !

Il est donc reparti pour chercher un putain de bambou et une petite machette. Il a mis un bout de bambou dans le mur !! Mais qui a cette idée ! En Indonésie, ils ne coupent pas l’arrivée d’eau, non, ils bouchent les trous ! Donc, bon, on a finit par mettre toutes nos affaires sur le lit pour éviter l’inondation et on a dormi comme des idiots dessus. Le lendemain, le patron est venu et nous a donné une deuxième clef pour utiliser la salle de bain d’à côté. On est resté finalement deux nuits là-bas car le lendemain on était envahi de moustiques et que Steve n’avait pas tiré la chasse.

Singapour : On oublie de préparer notre arrivée

Nous ne sommes pas restés à Singapour longtemps, donc nous n’avons pas vraiment de grosses anecdotes comparables aux précédentes à vous raconter. Cependant, il est vrai que nous avions un peu trop pris la confiance en Asie et que nous n’avions pas du tout préparé notre arrivée à Singapour. Je vous laisse regarder la vidéo qui suit, dans laquelle j’explique bien le problème et ses très mauvaises conséquences ah ah ! Ne vous inquiétez pour la suite, on a fini par trouver l’appartement de nos amis où nous devions loger quelques jours ! Tout est bien qui finit bien, après des heures de galères !

Inde : On mange quasiment rien pendant une semaine

Tout le monde le sait, notre expérience de Jaipur en Inde ne fut pas la meilleure de nos trois ans de voyage. A vrai dire, nous étions arrivés en basse saison. La région était très pauvre et notre quartier était très pauvre aussi. On n’a rien contre ça. Par contre niveau nourriture, je dois dire qu’on a serré la ceinture.  Les repas dans les rues étaient tellement peu nourrissants et ils étaient servis en si petites quantités que nous n’étions jamais rassasiés.

Nous ne voulions pas non plus commander plusieurs plats à la suite car face aux habitants, c’était un peu leur montrer un manque de respect, puisqu’eux ne se contentaient que de ça. On achetait donc des fruits aux marchands et on essayait de se restaurer sur le rooftop de l’hôtel. Bien entendu, l’Inde est un pays compliqué niveau social. Dans cette région du moins, les hommes ne parlent pas aux femmes. Donc je me sentais déjà très seule et les indiens ne se gênent pas pour s’incruster à ta table lorsque tu manges pour te vendre un truc. Et ça peut durer des plombes. Cela ne nous donnait plus envie de sortir manger. Donc on finissait par grignoter ici et là et à avoir l’impression d’avoir toujours faim. 

Quelle est l’anecdote que vous avez préféré ?

 

Pour notre part, on aurait pu vous en partager beaucoup d’autres ! Ceux qui connaissent Steve, savent qu’il est tête en l’air et qu’il est en plus maladroit. Je peux donc vous assurer qu’on ne s’est pas ennuyés pendant nos 9 mois d’Asie ! Forcément sa maladresse a forcé le destin et les rencontres et pour le coup, même si au début on en était agacés, c’est ce qui nous a apportés les meilleurs moments de ce voyage !

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2 commentaires

  • Pauline

    Hello ! J’adore l’anecdote du caca de buffle ! Je ne savais pas qu’on pouvait en faire du ciment, c’est très interressant. Peut-être que vous construirez votre futur maison comme ça, why not, hihi. Bonne journée ! Pauline

    • MissManala

      Coucou Pauline ! Merci pour ce commentaire ! Ha ha ! En effet, c’est une idée qui nous avait trotté dans la tête quelques temps… mais maintenant qu’on est en véhicule aménagé, on l’a relégué au placard. Mais certainement un jour, on aura notre mur en caca lol ! Bonne journée !

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